À l'approche du tirage au sort de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2025, les membres du comité exécutif de la Confédération Africaine de Football (CAF) se sont réunis à Rabat , au Maroc, sous la présidence de Patrice Motsepe. Ce rassemblement a permis de faire le point sur les élections importantes à venir, notamment la présidence de la CAF et les élections au Conseil de la FIFA.
Le Dr Patrice Motsepe, président sortant de la CAF, a été confirmé comme l'unique candidat à sa propre succession. Sa réélection semble pratiquement assurée, son leadership étant largement soutenu par la majorité des membres de la Confédération.
Le calendrier des élections de la CAF a été fixé pour le 12 mars 2025, date à laquelle Patrice Motsepe se verra reconduit à la tête de l'organisation, à moins d'un retournement de situation improbable. Ce processus électoral intervient dans un contexte de stabilité et d'efforts continus pour renforcer le football africain.
En parallèle, les élections pour le Conseil de la FIFA ont également suscité une attention particulière. Celles-ci concerneront cinq sièges pour lesquels trois candidats africains sont en compétition. Parmi eux, le président de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF), Yacine Idriss Diallo, a officiellement annoncé sa candidature. Sa présence dans ce cours marque une étape importante pour le football ivoirien et l'ambition de voir un représentant du pays au plus haut niveau de la gouvernance du football mondial.
L'Assemblée a également évoqué le cas de Bestine Kazadi, la seule candidate féminine pour un poste à la CAF, représentante de la République Démocratique du Congo. Son entrée en poux témoigne de l'engagement croissant pour la représentation des femmes dans le football africain.
Un autre point de tension a été la candidature de Samuel Eto'o, président de la Fédération Camerounaise de Football (Fécafoot), pour un siège au Comité Exécutif de la CAF. Malheureusement pour l'ancien attaquant des Lions Indomptables, son dossier a été rejeté par le comité de gouvernance de la CAF en raison de plusieurs irrégularités. Cependant, une décision finale pourrait être rendue par la Cour d'Arbitrage du Sport (TAS), en attente d'un verdict.
L'ensemble de ces élections devrait renforcer la compétitivité et la structuration du football africain dans les années à venir, avec une attention particulière portée à la diversité et à la transparence des processus électoraux. La CAF devra ainsi continuer à œuvrer pour l'unité et l'efficacité du football continental tout en répondant aux enjeux de gouvernance qui se profilent.
Le Dr Patrice Motsepe, président sortant de la CAF, a été confirmé comme l'unique candidat à sa propre succession. Sa réélection semble pratiquement assurée, son leadership étant largement soutenu par la majorité des membres de la Confédération.
Le calendrier des élections de la CAF a été fixé pour le 12 mars 2025, date à laquelle Patrice Motsepe se verra reconduit à la tête de l'organisation, à moins d'un retournement de situation improbable. Ce processus électoral intervient dans un contexte de stabilité et d'efforts continus pour renforcer le football africain.
En parallèle, les élections pour le Conseil de la FIFA ont également suscité une attention particulière. Celles-ci concerneront cinq sièges pour lesquels trois candidats africains sont en compétition. Parmi eux, le président de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF), Yacine Idriss Diallo, a officiellement annoncé sa candidature. Sa présence dans ce cours marque une étape importante pour le football ivoirien et l'ambition de voir un représentant du pays au plus haut niveau de la gouvernance du football mondial.
L'Assemblée a également évoqué le cas de Bestine Kazadi, la seule candidate féminine pour un poste à la CAF, représentante de la République Démocratique du Congo. Son entrée en poux témoigne de l'engagement croissant pour la représentation des femmes dans le football africain.
Un autre point de tension a été la candidature de Samuel Eto'o, président de la Fédération Camerounaise de Football (Fécafoot), pour un siège au Comité Exécutif de la CAF. Malheureusement pour l'ancien attaquant des Lions Indomptables, son dossier a été rejeté par le comité de gouvernance de la CAF en raison de plusieurs irrégularités. Cependant, une décision finale pourrait être rendue par la Cour d'Arbitrage du Sport (TAS), en attente d'un verdict.
L'ensemble de ces élections devrait renforcer la compétitivité et la structuration du football africain dans les années à venir, avec une attention particulière portée à la diversité et à la transparence des processus électoraux. La CAF devra ainsi continuer à œuvrer pour l'unité et l'efficacité du football continental tout en répondant aux enjeux de gouvernance qui se profilent.