Le refus des pièces de cinq cents (500) FCFA dans certaines transactions à Bouaké suscite des inquiétudes au sein de la population et des opérateurs économiques. Face à cette situation, le préfet de Bouaké, Tuo Fozié, a publié un communiqué pour rappeler la validité de cette monnaie.
Dans son message, il rassure les citoyens et commerçants que ces pièces restent en circulation et doivent être acceptées, sauf en cas de retrait officiel annoncé par la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO).
Un rappel de la réglementation monétaire
Le préfet souligne que le retrait de billets ou de pièces de monnaie relève uniquement d'une décision officielle de la BCEAO. Or, aucune annonce de cette institution n'a mentionné le retrait des pièces de 500 FCFA. En conséquence, ces pièces conservent leur cours légal et doivent être utilisées dans toutes les transactions.
Cette clarification intervient alors que certains établissements financiers et commerçants de Bouaké auraient refusé ces pièces, suscitant des interrogations et des incompréhensions parmi la population.
Une mobilisation des autorités locales
Pour régler ce problème, les services de la Préfecture de Bouaké se tiennent disponibles afin de recenser tous les cas de refus signalés. Cette initiative vise à assurer le respect des règles monétaires et à éviter les perturbations dans les transactions commerciales.
Le préfet appelle donc à la vigilance et rappelle aux commerçants l'obligation d'accepter ces pièces. Une sensibilisation pourrait être menée pour informer les acteurs économiques et rassurer la population quant à l'utilisation de cette monnaie.
Ainsi, en l'absence d'une décision officielle de la BCEAO, les pièces de 500 FCFA restent valables et doivent continuer d'être acceptées dans les échanges commerciaux à Bouaké.
Dans son message, il rassure les citoyens et commerçants que ces pièces restent en circulation et doivent être acceptées, sauf en cas de retrait officiel annoncé par la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO).
Un rappel de la réglementation monétaire
Le préfet souligne que le retrait de billets ou de pièces de monnaie relève uniquement d'une décision officielle de la BCEAO. Or, aucune annonce de cette institution n'a mentionné le retrait des pièces de 500 FCFA. En conséquence, ces pièces conservent leur cours légal et doivent être utilisées dans toutes les transactions.
Cette clarification intervient alors que certains établissements financiers et commerçants de Bouaké auraient refusé ces pièces, suscitant des interrogations et des incompréhensions parmi la population.
Une mobilisation des autorités locales
Pour régler ce problème, les services de la Préfecture de Bouaké se tiennent disponibles afin de recenser tous les cas de refus signalés. Cette initiative vise à assurer le respect des règles monétaires et à éviter les perturbations dans les transactions commerciales.
Le préfet appelle donc à la vigilance et rappelle aux commerçants l'obligation d'accepter ces pièces. Une sensibilisation pourrait être menée pour informer les acteurs économiques et rassurer la population quant à l'utilisation de cette monnaie.
Ainsi, en l'absence d'une décision officielle de la BCEAO, les pièces de 500 FCFA restent valables et doivent continuer d'être acceptées dans les échanges commerciaux à Bouaké.