Cet incident a eu lieu alors que l'élève, inscrit en 1ère D3, a été surpris en train de tricher durant un devoir d'Anglais, en utilisant son téléphone portable à des fins interdites.
Lorsque le professeur a tenté de lui confisquer l'appareil, l'élève a réagi de manière violente, le repoussant d'abord avant de l'attaquer physiquement. La situation a rapidement dégénéré, créant un climat de confusion et de tension parmi les autres élèves. Le personnel scolaire a dû intervenir pour maîtriser l'élève et rétablir l'ordre. À la suite de l'agression, le professeur, blessé et choqué, a été contraint de suspendre ses cours pendant trois jours.
Pour exprimer leur solidarité et dénoncer la violence en milieu scolaire, les enseignants de l'établissement ont décidé de se mettre en grève du mercredi 29 janvier au vendredi 31 janvier 2025. Ce mouvement a suscité une réaction des autorités éducatives, incitant le ministère de l'Éducation nationale à envoyer une délégation pour enquêter sur les circonstances de l'incident.
Les mesures prises à l'encontre de l'élève agresseur restent à ce jour inconnues. Cet événement soulève des questions cruciales sur le respect de l'autorité des enseignants et la gestion des conflits dans les écoles.
Lorsque le professeur a tenté de lui confisquer l'appareil, l'élève a réagi de manière violente, le repoussant d'abord avant de l'attaquer physiquement. La situation a rapidement dégénéré, créant un climat de confusion et de tension parmi les autres élèves. Le personnel scolaire a dû intervenir pour maîtriser l'élève et rétablir l'ordre. À la suite de l'agression, le professeur, blessé et choqué, a été contraint de suspendre ses cours pendant trois jours.
Pour exprimer leur solidarité et dénoncer la violence en milieu scolaire, les enseignants de l'établissement ont décidé de se mettre en grève du mercredi 29 janvier au vendredi 31 janvier 2025. Ce mouvement a suscité une réaction des autorités éducatives, incitant le ministère de l'Éducation nationale à envoyer une délégation pour enquêter sur les circonstances de l'incident.
Les mesures prises à l'encontre de l'élève agresseur restent à ce jour inconnues. Cet événement soulève des questions cruciales sur le respect de l'autorité des enseignants et la gestion des conflits dans les écoles.